Dès 1854, deux lignes d'omnibus sont établies à Bordeaux.


En 1859 les différentes compagnies concurrentes fusionnent pour former la Compagnie Générale des Omnibus de Bordeaux.
Le 4 mai 1880 une première ligne de tramways à chevaux est établie sur les quais. La société "tramways et général works" reprend également la gestion du réseau d'omnibus.
De 1893 à 1908 différents compagnies ouvrent des lignes de tramways desservant les communes environnantes.
En 1899 le réseau urbain passe à la Compagnie Française des Tramways et Omnibus de Bordeaux qui modernise et électrifie le réseau.

En 1939 le réseau compte 25 lignes urbaines et 13 de banlieue, desservies par 374 motrices et 282 remorques à essieux.

A partir de 1925, 50 bus SOMUA s'ajoutent aux tramways.

En 1939 85 voitures sont en service et seront pour la plupart réquisitionnées par l'armée, les autres étant adaptées pour la marche au gazogène.

En 1945 une timide apparition du trolleybus n'aura pas de suite et le service cessera en 1954

En 1950 la décision de supprimer tout le réseau de tramways est prise et le dernier tram bordelais circulera le 7 décembre 1957.

L'effectif des autobus Renault R4191 et Chausson APH atteint 257 voitures en 1955. A partir de 1965 les standard Saviem et Berliet prendront le relai.

Sur la ligne 7/8 la plus chargée du réseau des autobus articulés prendront rapidement place. Bordeaux sera d'ailleurs la seule ville de france à exploiter des autobus à double articulation avec 10 exemplaires du Heuliez GX237.

En 2003 le tramway est de retour à Bordeaux après une tentative d'installation d'un métro automatique de type VAL comme à Lille. C'est Bordeaux qui après quelques mises au point délicates utilisera la première le système d'alimentation électrique par le sol "APS" permettant de s'affranchir de la ligne aérienne de contact dans le centre historiqu