Résumé et photos du 3 JUILLET

Videos et photos de la journée du 3 juillet

lautaret galibier 3 juillet

photos 3 juillet

 

 

 

Le Col du Galibier – 2642 m – est une des ascensions les plus célèbres des Alpes. À cheval sur les départements de Savoie et des Hautes-Alpes, il est le quatrième plus haut col routier des Alpes françaises.

Construite à partir de 1880 et achevée en 1891 par le percement du tunnel à 2543 m, cette route plus que centenaire s’est élevée en 1976 de 89 m supplémentaire pour atteindre le véritable col géologique du Galibier.

Trait d’union entre les Alpes du Nord et du Sud, son ascension présente un beau défi surtout par son versant Nord.

VERSANT SUD

À partir du Col du Lautaret (alt. 2057 m), dans le département des Hautes-Alpes, ce versant est plus court avec seulement 8,6 km de montée. Comptez tout de même 585 m de dénivelé à 7% de moyenne. Même plus car pour atteindre le Col du Lautaret, il faudra vous coltiner une longue, très longue ascension depuis Le Bourg-d’Oisans (34 km à 4%) ou depuis Briançon (28 km à 3%), autant vous dire que les forces seront un peu entamées !

Cette ascension du versant Sud se grimpe quand même plus facilement que le versant Nord. La pente est très régulière – autour des 7% – sur une route assez large avec un bon revêtement, le tout dans un magnifique décor. Au passage à côté du Monument Henri Desgranges (fondateur du Tour de France), la pente se fera même un peu plus douce avec près de 800 m à 5,5%. Profitez-en bien, car comme pour l’autre versant, vous délaisserez le Tunnel du Galibier interdit aux cyclistes pour gravir un sublime final de 900 m à 9,5% de moyenne. Attention, parfois le vent du Nord s’engouffre dans la brèche du col et peut donner un caractère encore plus difficile à l’ascension de la dernière rampe !

VERSANT SUD par l’ancienne route – Uniquement en VTT

Le tracé de la route sur le versant sud était totalement différent jusqu’en 1947, date de la construction des tunnels paravalanches entre Briançon et le col du Lautaret. L’ancienne route était à l’est de la route actuelle et présentait une pente nettement plus forte (les six derniers kilomètres à presque 10 %). L’ancien et le nouveau tracé ne se croisent jamais avant le monument Henri Desgrange (source wikipedia).